Pour un grand nombre d'étudiants, la période entre janvier et février (et accessoirement fin mai et début juin) est très redoutée. Il s'agit de la funeste période où il faut prouver sa valeur et mettre en oeuvre les savoirs et savoir-faire qui ont été enseignés depuis le mois d'octobre. Pour beaucoup, cela signifie une grande quantité de papiers à relire, mais également des fiches synthétiques à réaliser, et des livres à relire en urgence.
C'est généralement à cette période qu'on revoit sortir les vitamines, les coktails énergisants, et tous les trucs soit disant "aide-mémoire" (je rigole un peu, j'ai essayé, j'ai jamais vu la différence)!
Au menu donc :
C'est généralement à cette période qu'on revoit sortir les vitamines, les coktails énergisants, et tous les trucs soit disant "aide-mémoire" (je rigole un peu, j'ai essayé, j'ai jamais vu la différence)!
Au menu donc :
Des partiels de quatre heures (pour les matières principales) et de trois pour les unités de recherche. Il y a donc une grande quantité de papier à noircir d'une écriture serrée et fébrile (le temps est compté, encore qu'avec quatre heures, c'est bien plus confort, du moins pour le temps et les idées).
Il est toujours "étonnant", "amusant" (vous avez vu quelqu'un se marrer durant un partiel?) d'observer les réactions quand arrive le moment le plus stressant pour le candidat : celui où les examinateurs distribuent les sujets. expressions tendues, longs soupirs, exclamations, cris étouffés. Puis le silence se fait, on n'entend plus que le bruissement du papier, les cris des crayons à papier et des stylos.
Il est toujours "étonnant", "amusant" (vous avez vu quelqu'un se marrer durant un partiel?) d'observer les réactions quand arrive le moment le plus stressant pour le candidat : celui où les examinateurs distribuent les sujets. expressions tendues, longs soupirs, exclamations, cris étouffés. Puis le silence se fait, on n'entend plus que le bruissement du papier, les cris des crayons à papier et des stylos.
Le temps s'écoule, puis arrive l'heure fatidique, la fin de l'examen. Le retour de la copie à l'examinateur, généralement dans un état second, puis la sortie rapide de l'amphithéâtre, pour retrouver les compagnons et compagnes de galère et disserter encore et toujours sur l'épreuve désormais passée.
Pensons donc à l'avenir, aux partiels qui nous restent (pour ceux qui en ont encore quelques uns, notamment la semaine prochaine)! Parce qu'après, nous attendent presque deux semaines de repos quasi complet. Profitons-en, le tourbillon infernal reprend le 13 février.
D'ailleurs, j'en profite pour signaler que les emplois du temps sont désormais disponibles sur le portail étudiant de l'université.
1 commentaire:
Abolition des partiels !! Avec le semestre de malade qu'on a eu (6 exposés minimum), je n'ai pas eu un weekend de libre pour prendre du recul et revoir mes cours. Et comme je suis contre les efforts violents, je n'ai absoluement RIEN révisé pour les exams de janvier. Suicide ou baraka, on verra les résultats..
Olivier
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